De récents travaux suggèrent que le risque de survenue d’un diabète sous statines diffère selon la “puissance” (à réduire le taux de LDLc) de celles-ci. Ce phénomène laisse à penser qu’il ne faut pas privilégier systématiquement les statines les plus puissantes (rosuvastatine > 10 mg, atorvastatine > 20 mg, simvastatine > 40 mg) chez les patients non diabétiques en prévention secondaire…
Statines et diabète : une question de puissance !
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- Publié le . Paru dans L'Information Dentaire
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